Nos chats

Nos chats

Je vous présente nos chats qui sont des maine coons. Pour ceux ne connaissant pas cette race: Le maine coon est une race de chat à poil mi-long originaire de l’État du Maine aux États-Unis. Ce chat au physique rustique est caractérisé par sa grande taille, sa queue en panache, son museau carré, ses oreilles avec plumets et son poil long. Il est à ce jour l’une des plus grandes races de chat domestique, avec le savannah, une race originaire des États-Unis issue du croisement avec un serval, un félin sauvage africain. Le maine coon est également la plus ancienne race naturelle nord-américaine (source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maine_coon).

La femelle s’appelle Orya, elle a trois ans, et adore faire tomber des choses. Elle est forte indépendante, mais tout les soirs, nous avons le droit à un petit câlin au lit.

Le mâle se prénomme Ness, âgé de trois ans, a une passion pour la nourriture. Lorsque nos intervenants à domicile préparent les repas, Monsieur n’est jamais loin.

C’est un gros pépère très calme qui adore les caresses. Régulièrement Ness dort avec nous, et dans les moments là, nous avons avons beaucoup moins de place dans le lit 😉

Ils s’entendent bien; parfois Ness prend sa sœur dans ses pâtes pour la lâcher. Cependant parfois nous avons le droit à des petites disputes.

En tout cas, se sont des chats très sociables.

Pour finir, monsieur Ness adore voler la place de papa.

Petits frères de sang

Petits frères de sang
Mon rêve c’est réalisé un jour de Noël
Puis un mois de mars quelques années plus tard
Deux petits hommes pleins d’énergie sont entrés dans ma vie
Vos sourires m’éclairent mes coins d’ombre
Vos baissés guérissent mes blessures
Vos regards me font devenir un autre homme
Même si suis plus mûre maintenant
Les enfantillages avec vous me réjouissent toujours
Je me vois dans vos personnalités si différentes et pourtant si complémentaires
Vous êtres mes deux parties de moi-même
Guillaume, tu es ma moitié intrépide et insouciante
Dorian, tu représentes ma partie sérieuse et assoiffée de savoirs
Je me réjouis chaque fois que papa fait des actions avec vous non réalisées avec moi
J’espère d’être le meilleur modèle qui soit pour vous guider sur les chemins de la vie
Je vous aime mes petits frères
 

Une famille d’un jeune homme à mobilité réduite vu par un handicapé

Une famille d’un jeune homme à mobilité réduite vu par un handicapé

Dans cet article, je vais exprimer mon ressenti envers ma famille au travers de mes expériences.

Tout d’abord ma mère, je la vois comme une lionne blessée. Elle se bat chaque jour pour le bien-être de son entourage, elle ferait tout pour mon bonheur. Quand j’ai un problème, je l’appelle et mon ennui disparait comme par magie. Je pense qu’elle est blessée par mon handicap, selon moi c’est normal pour la raison suivante : elle m’a mis au monde. J’ai remarqué que la plupart des mères se sentent coupables du handicap de leur enfant, selon moi c’est simplement la faute du hasard et en aucun cas cela ne fait d’elles de mauvaises mères. J’ai conscience qu’avoir un enfant handicapé cela n’est pas toujours facile à assumer. Cependant, j’ai remarqué que sa blessure se referme fur à mesure de ma réussite et j’espère la guérir totalement un jour.

Mon père, c’est mon modèle. Il a réussi à faire abstraction de mon handicap, c’est lui qui m’a mis des coups de pied au cul pour me pousser hors de mes limites, résultat : j’ai un bac plus 5. Ses dires sont parfois difficiles à entendre, mais chaque fois cela me remotiver. Ma plus grande phobie serait de le décevoir.

Mes beaux-parents, ils m’ont tout de suite accepté. Ma belle-mère me connaissait bien, car c’était ma professeure au collège, elle a tout organisé pour ma réussite. Indirectement, elle m’a aidé à prendre conscience de ma différence au travers de son humour envers le handicap. Mon beau père est surement mon meilleur confident, car il pose un regard neutre sur mon handicap.

Ma sœur et mes frères, je n’ai jamais ressenti de leur part de la honte envers moi, mais juste une normalité. Au travers de leur regard, je me sens valide. J’adore quand guillaume (4 ans) et Dorian (8 ans) parlent du handicap avec leurs mots. ils me posent beaucoup de questions : pourquoi tu es handicapé ? Tu vas marcher quand ? Je vais être handicap ? Malgré leur jeune Âge, ils m’aident dans la vie de tous les jours : m’ouvrent les portes, me nourrissent,…

Mes grands-parents, je pense qu’ils ont eu peur à ma naissance, car je suis le premier handicapé de la famille, simplement ils ont eu peur de l’inconnu. À présent, je ressens de la fierté envers moi.

Je finirai simplement en disant que je les aime.