black book with pen

Le couple entra dans une chambre très particulière. En effet, un étrange paysage les enveloppa en une seconde. De hautes montagnes enneigées se dressaient au loin, donnant l’impression qu’elles pouvaient toucher les quelques nuages blancs perdus parmi l’immensité bleue. Le soleil illuminait leurs hauteurs sur lesquelles des cascades se jetaient au sein du vide. À l’opposé, une période nocturne s’était éternellement installée, formant ainsi un rideau sombre, où des millions d’étoiles brillantes accompagnaient la pleine lune tachetée.

Les deux amoureux temporaires marchaient au milieu de grandes herbes dont les pointes chatouillaient leurs genoux. Chaque pas fessait envoler des papillons bleu nuit. Une multitude d’oiseaux exotiques les survolaient en chantant une triste mélodie remplissant le silence.

Aaron se déshabilla puis s’allongea lentement sur une épaisse végétation composée par des fleurs multicolores, elles chargeaient l’aire d’une agréable et douce odeur vanillée. Shila hotta son t-shirt moulant, cela dénuda aussitôt sa magnifique poitrine brunie naturellement. On distinguait à peine les aréoles parfaitement dessinées. Les tétons dévernirent dure grâce aux multiples coups de langue, ainsi à quelques caresses masculines. La jeune femme se redressa afin d’enlever les derniers vêtements la séparant des futures sensations simulées. Plaça le corps étendu sur le sol, entre ses pieds, puis se courba en avant afin que ses fesses rebondies soient bien misse en valeur à la vue du nouveau compagnon sexuel qui s’empressa des prendre en pleines mains. Après deux minutes d’agréables fessées, Aaron vit s’approcher ces deux belles dunes. Un immense bien-être l’envahit. Soudain, la demoiselle chevaucha son étalon, en mettant une rage féroce dans ses mouvements. Ses seins décrivaient des balancements rapides partant du bas puis allant vers le haut. Quelques fois, sa chute de reins entamait une danse lente d’avant en arrière. Aaron croisa son regard. Anormalement, il pouvait sentir une tristesse craintive.

L’homme jouissait sans ressentir la peur habituelle.

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